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 [Rang A] Un cadre presque paradisiaque

Rokudaïme Raïkage
Tsubaki Yume
Rokudaïme Raïkage



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Tsubaki Yume
MessageSujet: [Rang A] Un cadre presque paradisiaque   [Rang A] Un cadre presque paradisiaque EmptyMar 26 Juil - 8:18
Le temps était chaud et clément dans la Pays de la Foudre tournant presque à l'orage comme d'habitude, à vrai dire j'aimais bien cette météo, je trouvais que les éclairs était un des chefs d'œuvre de Mère Nature d'une beauté éclatante. Le soleil était à son zénith et les rues du village caché des Nuages étaient déjà bondée de monde, que ce soit Shinobi, civil ou marchands itinérant et le tout dans une joie de vivre déconcertante -dit-elle avec ironie- ... non dire cela serait vous mentir car chacun avait en tête le conflit en chaîne qui allait éclater entre Kumo et le reste du monde car connaissant étroitement la Mizukage, elle fera certainement des alliances avec les grands de ce monde. Nous courrons à notre perte.

J'étais là, assise sur mon rebord de fenêtre comme à mon habitude très pensive. En effet, j'avais un contrat secret qui me liait à ma sœur, je devais lui rendre compte des informations que j'avais récupéré sur Kumogakure et son chef, mais entre temps je m'étais aperçus que le Raïkage n'était pas une personne mauvaise et fomentait une rébellion contre son maître chanteur (dont je ne connais pas l'identité, ni la faction), ainsi il n'enverrait qu'une faible salve de ninjas sur le champ de bataille à Kirigakure. Et puis Suzumi-nii m'avait envoyé directement un de ses aigles messager pour m'annoncer qu'elle avait créer une alliance et qu'elle avait quelques information sur mon village d'accueil, repensant à tout cela je descendis de mon rebord de fenêtre et alla écrire la réponse que j'allais lui envoyer, bien sûr en lui envoyant directement sans l'intermédiaire du Département des Messages de la Brume, sinon notre petit complot se ferait percer à jour et je serais certainement enfermée dans les sous-sols de Kumo. J’allais diriger ma plume sur le morceau de parchemin quand j'entendis frapper à ma porte ... aussitôt je posai mon outil d'écriture et me dirigeai vers la porte d'entrée.

Je l'ouvris dans un grincement sonore et je vis un ninja de Kumo qui portait la veste des Jônin de mon village d'accueil. Il me fixa et me tendis un parchemin et me dit d'une voix plutôt haute et ferme:

Jônin de Kumo: -Le Raïkage lui-même vous envoi en mission avec lui, vous partez tout de suite Tsubaki-senseï. Bonne chance à vous, vous en aurez besoin.

J'émis un petit ricanement, le tout accompagné d'un sourire, voilà un shinobi bien poli -pour une fois- . Je lui répondit toujours avec ce grand sourire qui ornait mon visage en prenant le parchemin frappé au sceau de "A", donc c'était bel et bien une mission de rang A, heureusement pour moi ce n'était pas une de rang S ou SS, je voulais absolument éviter d'être envoyée au front à Kirigakure, un nouvel affrontement avec ma sœur me serait certainement fatal au vu de son niveau actuel, à vrai dire elle m'a dépassé dans la maîtrise des arts ninjas ... enfin bref, je fis sauter le cachet de cire et déroula le parchemin écrit par la main de mon supérieur, un joli garçon il fallait dire enfin :
Moi : Je vous remercie Mizoï-san dis-je avec un grand sourire :

Moi: - je te remercie Mizoi-san

Spoiler:

Ainsi j'étais envoyée avec l'Ombre de la Foudre sur une île que notre cher Chef Féodal voulait conquérir, il était également mentionné que cette île fut repaire de ninja renégat des Nuages et qu'il était dangereux de s'y aventurer seule. En lisant cela j'émis encore un faible ricanement, car moi du déserteur, j'en ai maté pendant des années que se soit au service de la Brume ou au service des Nuages ou encore en tant que mercenaire durant ma période transitoire. Apparemment cette mission était plutôt urgente car je devais partir dans l'après midi donc en étant plus précis dans deux heures, donc il fallait ce grouiller et vite ! D'un pas assez rapide je partis dans ma chambre où je troquais mon kimono beige contre ma tenue de Jônin. Cette tenue ? Un simple filet ninja cachant mes parties intimes avec par dessus ma veste de ninja confirmé - c'est peu dire-. Pour bas un pantalon simple, noir avec en dessous des chaussures ninja aussi basiques qu'efficaces et enfin je terminais tout cela en mettant mon bandeau de Kumogakure à mon front et j'attachais mes cheveux auburn avec une broche avec en son bout une spiral en saphir (cadeau de ma grand-mère). Je fis le plein de nourriture que je mis dans mon sac et parti comme à mon habitude par la fenêtre.

Je me jetais dans le vide et en concentrant mon chakra dans mes pieds de m'accrochait aux parois verticales des bâtisse pour rejoindre mon Kage aux portes du village. Ainsi de toits en toits, je mis quelques minutes pour parvenir à ma destination d’où j’attendis mon cher Raïkage. Une fois arrivés sans rien dire je partis dans l’épaisse forêt qui bordait le village et ainsi je sautais de branches en branches pour arriver plus vite au port d’où nous prendrons le bateau …
Après une heure de marche intensive dans les vallées, cols et forêt du Pays de la Foudre, nous parvînmes enfin dans le petit port commercial de Kyôshi. Rien que depuis la colline qui surplombait le village portuaire, je pus voir un grand navire avec d’immenses voiles de toile frappée au symbole de Kumogakure. Nous traversâmes la petite cité et après avoir rempli quelques formulaires d’embarquement nous montèrent dans cette immense embarcation … le daimyô ne faisait pas les choses à moitié quand il s’agit de mettre un territoire sous son administration. Je n’aimais pas notre seigneur, je trouvais qu’il était non seulement faible et qu’il ne servait strictement à rien mise à part gérer l’économie du pays … une gestion assez chaotique dira-t-on. Enfin bref, je montai la première sur le bateau et je partis déposer mes affaires dans la cabine qui m’étais attribuée, cette cabine était assez spacieuse avec lit un deux place et joliment décoré aux notes japonaises antiques …

J’allais voir le capitaine de bord et lui demanda :

Moi : -Euh … puis-je vous demander quelque chose ?

Le capitaine me regarda de haut en bas et arrêta son regard sur ma poitrine, ce qui eut le don de m’énerver au plus haut point. Après avoir détaché son regard de ma poitrine il me dit alors d’une voix assez indifférente :

Capitaine de Bord Hiro : -Ouais ?

Je répliquais alors pour lui poser la question que toute femme demande à bord d’un bateau par soucis de pudeur ou de bonne manière :

Moi : - Est-ce que la cabine que j’ai, n°12.3 est une chambre seul et est-ce que le Raïkage est dans la même cabine que moi ?

Le capitaine eut un sourire qui en dit long sur sa réponse … sans rien dire je partis alors en direction de ma cabine. D’après ce sourire plus que moqueur, j’avais mon chef dans la même cabine que moi et dans le même lit. Ça faisait longtemps que je n’avais pas dormi avec un autre homme que mon meilleur ami Nezui qui était soit-dit en passant plus vieux que moi enfin bref. J’avais une certaine estime pour la Raïkage depuis que j’ai su qu’il n’était pas ce que je croyais et qu’il était même plus que ce que je pensais mais bon cela ne justifie pas le fait que je vais devoir dormir avec lui !
Vingt-quatre heure de bateau, voilà ce qu’il m’attendait dont une nuit à passer dans le même lit que mon supérieur et ce qui devait arriver arriva, la nuit tomba, je tentais de repousser le plus loin possible le moment du couché. Je me mis dans le lit en prenant soin de me tenir le plus loin possible de mon chef évitant tous contacts.

Le soleil se leva baignant de lumière la cabine qui avait un hublot, je me découvris dans les bras de mon Kage la tête sur son torse … en découvrant la position dans laquelle j’étais je me mis à hurler au risque de réveiller tous l’équipage du bateau :

Moi : -AAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

Après m’être calmé, je constatais qu’e ne fut pas déshabillé et que ma culotte était bien sur mes fesses, et je lâchai un soupir de soulagement … bien qu’au final, le contraire ne m’aurait dérangé. Bref, après encore quelques heures de bateau, nous débarquâmes sur une île presque déserte, il y avait des ruines de temples bouddhiste et quelques de maison au style très japonais. Une fois arrivé sur une jetée à moitié en ruine je regardai mon Kage comme si rien ne s’était passé à bord du bateau et je dis d’un d’une certaine indifférence :

Moi : -Raïkage-sama, quels sont les ordres … dis-je d’un ton assez vague.





Onizuka Yakami



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Nindô : Vivre pour enseigner.
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Onizuka Yakami
MessageSujet: Re: [Rang A] Un cadre presque paradisiaque   [Rang A] Un cadre presque paradisiaque EmptyJeu 25 Aoû - 14:35
Je lui en foutrais moi à ce seigneur féodal de pacotille, monsieur n'avait qu'une envie : se mettre loin du pays afin de se protéger de la guerre. Je comprend à présent le Yondaime de l'avoir au plus possible éloigné des affaires du pays. Mais je n'avais pas le choix, je ne suis pas aussi grande gueule que mon prédécesseur et j'étais encore soumis à son autorité. J'avais donc pour mission de lui donner un nouveau territoire et quel territoire... Mon second m'avais prévenu qu'il n'étais pas prudent de s'y rendre seul, des légendes parlent d'un monstre qui vivrait sur cette île. On y envoyait des prisonniers condamnés à mort il y a quelques décennies. J'étais assis sur mon bureau, une cigarette à la bouche et je réfléchissait à qui prendre avec moi. Shinji devra s'occuper des préparatifs de la guerre, Akumo n'était pas encore assez fort et j'avais déjà envoyé la plupart de mes meilleurs officiers en mission. Décidément cette guerre causera ma perte...J'avais aussi penser à ma meilleure amie Joy mais je l'avais déjà envoyé en mission la veille et elle ne reviendrait pas afin quelques jours. Je parcourrais les dossiers ninja puis j'étais retombé sur une jônin que j'avais déjà vu combattre lors d'une intervention de la Mizukage pour venir la chercher. Je présentai alors son dossier à Shinji afin d'avoir son avis sur la situation, mais peu importe ce qu'il dira c'était elle que je voulais.

« Je ne suis pas sûr... Elle a déjà trahi son premier pays, pourquoi pas nous ? De plus, nos équipes d'informations m'ont dit qu'il était possible qu'elle ait un lien de parenté avec la Mizukage. Je ne comprend même pas pourquoi vous avez accepté qu'elle revienne... Mais bon je suppose qu'il n'y a pas d'autres choix... »

« Tu supposes bien, envoies quelqu'un la chercher et retourne auprès de nos frères pour préparer cette satanée guerre. Je te confie encore une fois Kumo et moi je vais m'offrir des vacances. »

Un sourire puis un rire s'échappa de nous. Nous avions réussi avec le temps à créer une certaine complicité avec mon second et s'était tant mieux car je savais que je pouvais lui faire confiance. Ce bref moment de chaleur dans les ténèbres de la guerre me faisait du bien. Discrètement, mon second me glissa de profiter de cette mission pour me détendre et pour me changer les idées. Même si il s'agissait d'une mission importante, il n'avait pas tout à fait tord. Je ne lui répondit rien et je le laissa faire ce qu'il avait à faire. Quant à moi, j'allai me préparer pour la mission. J’enfilai la tenue de Jônin réglementaire et j'y ajoutai ma précieuse coiffe de Raikage qui me servait pas la même occasion de bandeau. Mais je savais que cet accessoire n'était pas très utile au combat donc je pris aussi mon bandeau frontal et je le mis autour de mon cou.

Le voyage jusqu'au port en compagnie de la jônin fut silencieux et bref. Mais je ne pouvait m'empêcher de perdre mes yeux sur sa tenue qui était un simple filet. Cette femme était belle, personne ne pouvait le nier. Durant le voyage, j’essayai de lui faire quelques sourire mais elle ne semblait pas les voir ou ne pas y réagir. En même temps j’espérais quoi ? Nous étions en missions, je ne devais pas lui donner l'impression de l'avoir choisis pour ses formes généreuses et son teint pâle. Nono non, je suis le Raikage et je me dois de rester concentrer. Quelques minutes plus tard, nous nous trouvâmes devant le port, sur les quai je pouvais voir le navire au couleur de mon pays. Je profitai un instant de l'air du large et je m'allumai une clope en laissant ma chère jônin sur le bateau. Quelques minutes de méditation me permis de me revigorer et me fis signe de monter sur le bateau. Je m'y dirigeai d'une allure normale les mains dans les poches, profitant encore de toucher la terre et d'entendre les mouettes. Le capitaine me demandai alors de m'approcher de lui, il avait visiblement quelque chose à me dire.

« Raikage-sama, vot'second m'a demandé de vous faire plaisir alors je vous ai mis dans la cabine de la dame. Mais lui dites pas qu'il y en a d'autres de libre ! »
« Ha... Bah heu je vous remercie ! Je penserais à le remercier aussi d'ailleurs... »


Je me dirigeai donc vers ma cabine pour y installer mes affaires. Les regards que me lançait Tsubaki m'amusait fortement. Comme si elle se sentais très mal à l'aise par rapport à cette situation. Mais bon on ne m'avait pas laisser le choix non plus. Bien que cela ne me dérange pas au fond. Le capitaine et son équipage me demandèrent de passer un moment avec eux pour boire de saké. J'acceptai par courtoisie mais je ne devais pas me rendre saoul car j'étais tout de même en mission. Je gagnai donc ma chambre assez rapidement en y entrant, j'ai découvrit Tsubaki déjà installer au bout du lit. Je me dirigeai donc vers mon coté, ôtant mon uniforme je ne laissai que mon boxer. J'avais l'habitude de dormir nu et je me suis dis que ce n'était peut être pas le moment de jouer les exhibitionniste. Je laissai discrètement un bonne nuit auquel je ne reçu aucune réponse.
Si je devais vous expliquer cette nuit, je la résumerais d'une phrase : je n'est pas dormi et voici les mots qui traversaient mes pensées.

[Rang A] Un cadre presque paradisiaque G_53


**Allez faut que je dorme ! Mais comment pourrais-je dormir avec une telle femme à mes côtés. Mais est-ce qu'elle dort ? Et heu elle dort toute nue ?... Non petite culotte... Oh mon dieu comment je vais faire ! Allez Onizuka c'est ton jour de chance ! Bientôt tu pourras dire, Onizuka 25ans, presque plus célibataire et DE-PU-CE-LER ! Non mais qu'est ce que je raconte moi ? Je suis le Raikage, je n'ai pas le droit de profiter de la situation ! Je suis un homme bien et... Mais qu'est ce qu'elle fait ? Elle se retourne ? Mais mais... Elle se colle à moi. Est-ce qu'elle dort ? Je ne dois pas réagir, c'est un teste ! Si je flanche c'est fini de moi ! Alors je ne bougerai pas et je vais méditer !**


Et je suivit mes pensée et je ne bougeai pas de toute la nuit. La seule chose qui pouvait me trahir était cette chose qui faisait de moi un homme. Les hormones d'un homme travail, surtout chez un puceau de 25ans. Mais je me concentrai pour ne pas qu'elle s'en aperçoive et que je passe pour un pervers. La matin arriva très vite pour mon esprit et alors que je venait à peine de fermer les yeux, un cri me réveilla et je vis Tsubaki debout en petite culotte devant moi, je me contentai de juste observer et ne rien dire. Ce matin fut le plus merveilleux de tous dans chacun de ma vie. Quelques minutes plus tard, je me dirigeai vers le pont, m'étant apprêter en premier à toute vitesse afin de laisser Tsubaki en paix. En sortant, j'avais droit à des regard complices de la part de l'équipage et le capitaine me regardai avec un sourire en tenant sa barre.

« Alors il vous plait mon cadeau Raikage-sama ? »
« Hum... Quand arrivons nous ? »
« Une heure ou deux... »

Je me posai alors sur la poupe du bateau et je m'allumai une clope en attendant que le temps se décide à passer au plus vite pour que je puisse enfin commencer cette mission et la finir au plus vite. Car après avoir regreter un isntant à ne pas avoir profiter de cette nuit, je sentis en moi un sentiment de cupabilité m'envahir. Je repensais à mon jeune élève Akumo et à tous les autres que j'avais à nouveau laissé. Nous ne savions pas exactement quand nous allions devoir manœuvrer pour la guerre ? J'étais encore et toujours sous le joug de l'Akatsuki et je ne pouvais faire aucun mouvement militaire sans l'approbation de leur chef sous peine de voir Kumo détruit. Mais c'est alors que je sentis une présence chaleureuse et réconfortante s'avancer vers moi.

« Raïkage-sama, quels sont les ordres ? »
« Dès qu'on arrive, on sécurise une zone pour le campement du soir et une fois installer nous iront visiter les contour de l'île et voir si quelque chose de vivant y vit. Nous y resterons deux nuits et le bateau viendra nous chercher à l'aurore du troisième jour. »

Une heure plus tard, nous touchâmes terre... Enfin la mission pouvait commencer !
 

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