« Ceux qui ne respectent pas les règles sont considérés comme des moins que rien mais ceux qui abandonnent leurs amis sont encore pires. »
 
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 C'est encore moi

Karasu



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Karasu
MessageSujet: C'est encore moi   C'est encore moi EmptyVen 7 Jan - 12:17
Bon, je n'avais pas été validée sur la V1, mais on avait été d'accord pour que je passe genin, par mesure de sécurité, je remets ici ma présentation et je suis allé chercher le code dans les règles, na!

C'est encore moi Karasu10

Nom : Hakujin

Prénom : Karasu

Âge : 16

Sexe : femme

Affinité : Doton et Katon

Grade Visé :
Chuunin

Village demandé :
Iwa

Avez-Vous lu les règles ? : oui, quelle question?
Validé par Tag'

Techniques :

Les techniques de base de genin (les cinq demandées dans la présentation du ninja.)

Doton Bunshin No jutsu (clone de terre)
Doton Shinjuu Zanshu (technique de décapitation)
Katon Ryuuka No Jutsu (un dragon de feu)
Katon Goukakyuu No Jutsu (Une grosse boule de feu)
Katon Housenka No Jutsu (quelques flammes en forme de pétales de fleur)

Techniques prises ici et .


_ Bonjour mademoiselle, fait le praticien ninja.

La jeune femme lui répond poliment et va s’asseoir sur la chaise des invités du bureau. Elle sait pourquoi elle est là. On appelle cela une inspection médicale. La pièce est aseptisée. Elle n’aime pas cela, elle frisonne. Une odeur d propre chirurgical envahit ses narines. Karasu n’aime pas être ici. Mais c’est une formalité nécessaire au déroulement de sa vie en tant que kunoichi. Pour pouvoir enfin obtenir le statut de chuunin, il faut tout refaire, du check-up complet pour savoir si la santé va (et quand la vie va, tout va), au suivi psychologique. Et il faut aussi remplir différents dossiers afin que les registres du village cachés du village de la Terre soient à jour. Elle soupire, et son regard accroche la lente révolution d’un nuage dans le ciel bleu du pays de la Terre.

_Mademoiselle ! s’écrie le médecin.

Elle sursaute, se retourne vers lui et se dresse sur sa chaise. Elle se mord les lèvres, gênée, une mimique dont il est difficile de se défaire. Elle s’excuse à mi-voix, demande de l’eau et prend une inspiration pour se donner du courage. Son regard redevient ensuite franc, ils peuvent commencer.


Descriptions Physique :

Avant de tout commencer, il lui demande si elle accepte de faire quelques clichés. Certaines personnes refusent que des photographies d’eux soient exposées aux regards, alors il préfère demander. Il assure à l’adolescente qu’elles ne seront utilisées que dans un but médical. Intérieurement, il savait que ses paroles n’étaient qu’un pieux mensonge. Partout où le dossier circulerait, on irait de sa critique positive ou négative quand à la personne. Sans jamais rien savoir d’elle. Sacré Hippocrate qui avait fait juré le serment aux médecins de ne rien divulguer du secret médical, il aurait du demander aux hypocrites qui pullulent dans l’administration ! Le médecin la fait se lever. Elle s’exécute face à lui. Son regard de professionnel la scrute comme un laser des plus performants.

La jeune fille qui se trouve devant lui ce jour là se nomme Karasu. Hakujin Karasu. Elle a seize ans, elle fait plus et moins à la fois. Peut-être est-ce à quoi elle ressemble qui la fait rajeunir, et ce qui transparait dans son attitude qui la fait paraître plus âgée. Déjà, elle est assez menue et fine comme une liane. Mais tous les muscles sont bien développés et réagissent bien. La façon dont elle se tient la fait paraître plus grande qu’elle ne l’est réellement ( il note sur la fiche qu’elle mesure 1m 55). Il y a dans la tension permanente qu’elle a en elle, un peu de stress, mais surtout comme si elle retenait en elle une énergie formidable qui allait exploser dans tous les sens.

Ses pieds sont petits et fins. Ses doigts de pieds sont bien alignés et répondent bien aux différents stimuli médicaux. Il remarque que le doigt de pied juste à côté du gros orteil est le plus long. Ses ongles sont assez mal coupés et souvent trop loin dans les chairs. Sans doute des accidents.

Sa jambe est assez fine. Elle n’a aucun mal à effectuer les mouvements qu’il lui demande. Alors il insiste un peu plus. Cette fille avait dû faire de la gymnastique ou de la danse, en tout cas un art approchant. Il y a une grâce innée et indubitable dans ses mouvements. Ses genoux présentent de nombreux bleus. Sans doute dû à un entraînement trop intensif.

Ses hanches sont galbées et son ventre plat. Ses abdominaux se dessinent à peine sur sa chair rose. Elle porte des marques de bronzage à cause du soleil écrasant du village caché des roches. Ses épaules sont fines et un peu tombantes, preuve peut-être d’un laxisme, il devrait peut-être l’exploiter plus dans sa psychologie.

Elle est assez gironde. Pour l’examen, elle avait été obligée d’enlever son pantalon et sa veste. Seulement vêtue d’un maillot de civil qui moule ses formes pleines et de sous vêtements gris sombre (ses socquettes étaient noires également), il doit avouer, en tant qu’homme normalement constitué que la petite est assez gironde. Ses longs cheveux de jais retombent en cascade couleur onyx jusqu’à ses hanches galbées. Elle a un physique assez attirant.

Mais plus que les légères ecchymoses qui parcourent sa peau hâlée, bras et jambes exposés sont couverts de fines griffures superficielles en voie de guérison plus ou moins avancée. La peau qui recouvre la face interne de ses mains montre des lésions régulières, sans doute causées par une escalade habituelle des divers reliefs qui font le pittoresque de leur pays.

Il la laisse se rhabiller, puis l’installe à côté de la fenêtre. Elle se place sagement sur la chaise en bois devant de panneau blanc. L’heure du portrait a sonné. Elle se redresse face à lui et noue ses longs cheveux en un chignon allez lâche qui dégage son visage. Elle a des traits assez marqués, presque durs par endroits mais l’ensemble de son visage est fin, ses traits sont harmonieux. Ses lèvres sont pleines, roses, charnues, elles donneraient presque envie de les embrasser si elle n’avait cette manie de les mordre à tout bout de champ lorsqu’elle se sent mal à son aise dans son environnement. Son nez est petit et pointu, rehaussé par de fines pommettes légèrement saillantes. Quelques taches de rousseur héritées d’on ne sait où les couronnaient ainsi que le haut de ses joues. Son sourire est un peu force mais reste joli. Pourtant il est un peu gâché par les cernes qu’elle a sous ses yeux noirs comme un morceau de néant arraché aux ténèbres. L’iris est si sombre qu’il a presque avalé la pupille, cernée discrètement par une fine démarcation grise. Il prend la photographie.

Le temps d’un battement de cil, il voit se dessiner une expression rêveuse. Elle fixe le ciel au travers de la vitre. Il l‘invite à se rasseoir face lui.

Description Psychologique

Il lui pose beaucoup de questions quand à elle. Il réussit ainsi à obtenir ce que l’on peut appeler un profil type de Karasu.

En elle, il y a beaucoup de professionnalisme. Par tous les moyens, elle tâchera de s’acquitter de sa mission. Cependant, si la vie de ses compagnons de route est mise en danger, elle n’hésitera pas à les favoriser par rapport au but de sa mission. Elle a un sens assez pointu de la loyauté, si ses intérêts concordent avec un camp, elle restera avec celui-ci et n’en changera pas. En revanche si elle se sent trahie, elle n’hésitera pas à résoudre le problème par le combat.

Elle aime beaucoup se promener en solitaire dans la nature et aller chahuter un peu avec des animaux sauvages. D’où les nombreuses marques sur sa peau et les déchirures à ses vêtements causées par les ronces ou les dents, griffes, coups d’un quelconque animal ou personne. Elle adore l’altitude et l’escalade et ne se sent nulle part mieux qu’en hauteur, ou dans un lieu qui donne une impression passagère de vertige. Le genre balançoire.

Elle aime beaucoup rire et s’amuser, et ne perd pas un seul instant pour user de cynisme ou d’ironie. Elle est aussi assez culottée et aime les défis. Assez fière d’elle-même et assez têtue, elle n’hésitera pas à redonner une nouvelle dimension au mot « impossible » si elle est piquée au vif. Mais plutôt nonchalante, elle ne bronchera pas contre les coups et les insultes, ou autres attaques de tout genre la visant elle ou son entourage. Mais lorsqu’elle aura atteint un seuil critique, elle explosera dans une rage assez brusque et sur un terme assez court, mais qui ne vous donnera pas l’envie de l’agacer à nouveau.

Pour la vie affective, elle a quelques amis. Mais elle préfère nouer des liens assez lâches. Pour elle, rien ne vaut les amitiés un peu distantes. On retire plus de plaisir à voir un ami moins souvent. Parfois quand on voit quelqu’un trop de fois, on ne sait plus quoi lui dire, la relation peut s’en sentir dégradée. Une relation aboutie selon ses critères correspond à la double concordance des désirs.

Pour l’amour, elle a déjà été plusieurs fois amoureuse. Elle est déjà passée à l’acte et prend la pilule. Mais elle ne vit avec personne pour l’instant. Tout simplement parce qu’elle n’a trouvé personne qui lui convienne. Pour sa part, elle pense que la beauté physique n’a que peu d’impact. Un peu quand même, précise-t-elle en riant, elle ne va pas prendre quelqu’un de très moche. Mais c’est la personnalité qui compte le plus à ses yeux. Parfois, celle-ci peut parfois supplanter quelques détails physiques. Notre regard change notre vison de l’autre, de même qu’il peut aider l’autre à s’accepter lui-même pour ses qualités et ses défauts. Cependant, elle a quelques conditions qui limitent quelque peu ses choix. Tout d’abord des intérêts communs dans divers sujets, et une ouverture d’esprit qui peut amener à s’intéresser à d’autres choses que le partenaire aime à faire. Ensuite elle apprécie l’initiative. C’est bien gentil si l’autre répond à vos caresses, mais il faut qu’il ose exprimer ses envies aussi. S’il prend votre main et la caresse pare qu’il en a envie, pas seulement parce que vous la lui tendez fortuitement à ce moment là.

Histoire :

Elle n’avait jamais rien connu d’endroit plus sordide que l’hôpital. Ces couloirs mornes et silencieux où ne vivaient que de pâles fantômes désintégrés à coup de perfusions douteuses et de piqûres sordides.

La petite a trois ans. Elle tient la main de son oncle. Un homme qu’elle ne connait guère, qu’elle n’a presque jamais vu. Mais dans ces moments, il vaut mieux tenir la main à quelqu’un que de rester seule. De toute façon elle en avait besoin. Elle était trop jeune pour subir tout cela sans fléchir.

Dans la salle d’attente, il n’y a pas âme qui vive. La petite Karasu veut voir sa mère. A tout prix. C’est suite à des problèmes de plus en plus fréquents que a mère a été hospitalisée.

Karasu ignore de quoi souffre sa mère. Elle sait qu’elle dort mal la nuit et qu’elle fait d’affreux cauchemars. Parfois, dans un demi-sommeil, elle entend sa génitrice arpenter leur petit appartement de ville en gémissant.
Maman a commencé en ayant des mots de tête, de plus en plus prononcés. Plus il y en avait, plus elle gémissait et avait des nausées qui empêchaient le marchand de sable de passer. Déjà de constitution frêle, elle s’était mise à maigrir et à pâlir. Ne restait plus qu’une forme écharnée, craignant le sommeil comme s’il s’agissait de son dernier voyage ici-bas. Sa mère avait ensuite commencé à se plaindre de sa vue qui s’obscurcissait. Les lunettes que le médecin lui avaient fait faire n’arrivaient pas à empêcher le dédoublement de ce qu’elle voyait.

De fil en aiguille, de nausées en vomissements, sa demeure devint l’hôpital. Elle y alla de plus en plus souvent jusqu’à y résider, entraînant dans son sillage de mort une petite en manque d’affection. Mais Karasu se taisait et ne disait rien. Elle continuait de sourire.

Prétextant un besoin pressant, l’enfant s’éclipse un instant de la vigilance de son oncle. Elle rase les murs pastel, passe les portes battantes en courant. Elle évite quelques chariots contenants divers instruments médicaux. Elle ne sait pas lire, mas elle a une idée les premiers chiffres. Une image imprécise du trois dans son esprit, elle se dirige dans les salles d’opération. Avertie par un sens de détection encore mal développée, elle se dissimule dans un recoin sombre. Elle entend deux médecins discuter de sa mère.

Elle n’a aucune idée du sens des termes qu’ils emploient. Que signifient les mots tumeurs, cancer, astrocytomes ou encore glioblastome multiforme ? Les mots inconnus prononcés de cette voix neutre qu’on les médecins ne pouvaient que l’effrayer encore plus. Elle se mit à fuir. Elle finit par retrouver son oncle qui commençait à s’inquiéter. Inventons, un gentil mensonge, tout mignon. Et gardons nos noirs secrets au plus profonds de nous pour pleurer en silence.

Le docteur en blanc et l’infirmière en rose apprennent aux deux membres de la famille que les visites sont impossibles et que la mère de Karasu ne peut pas s’occuper d’elle. L’oncle repart avec une enfant esseulée. Celle-ci boude. Son oncle lui explique qu’il ne vit pas en ville mais sur les chemins. Pour cet oisillon tombé du nid, projeté dans une vie inconnue, elle héritait d’un nid sur roues au milieu des saltimbanques.

Dans cette communauté, sitôt que l’on sait faire quelque chose, on se met à travailler. Et quand on ne sait rien faire, on apprend. Comme chacun sait le désespoir fait vivre. Pour oublier sa peine, Karasu s’investit dans sa tâche. Bientôt, c’est cette enfant qui maquillée d’un masque joyeux se lancera à la conquête des airs. Les familles sont friandes de ces gamins qui se lancent dans des acrobaties de haute voltige. Tant que ce ne sont pas les leurs… Funambulisme, gymnastique, trapèze…

A huit ans, après cinq ans passés dans cette communauté, Karasu n’avait qu’une idée très indistincte du danger. Elle n’avait pas peur du vide, et elle passait son temps dans les coins mal famés dans tous les pays. Elle passait son temps à se lancer des défis tous plus difficiles les uns que les autres. Elle redonnait un sens au mot impossible.

Mais son oncle voyait bien que cette vie ne lui convenait pas. L’enfant avait un esprit un peu trop indépendant à son goût, plein de rêves de liberté. Sa nièce n’aimait rien tant que crapahuter partout. Elle dormait dans les arbres, vivait du produit des campagnes, se lavait dans la rivière. Et elle aspirait à grimper le plus haut possible, à battre des records. Combien de fois l’avait il retrouvée toute égratignée ? Il ne comptait même plus. Mais il avait découvert un talent inné chez l’enfant. Quelque chose qu’il n’avait jamais soupçonné et qu’elle devait exploiter, sous peine de faire mourir son don.

Un soir, il l’avait vue avec un couteau assez long et effiler se mettre à tournoyer et à enchaîner parades sur parades. C’était envoutant, presque une danse. Et l’enfant souriait, comme si elle savait, si elle avait toujours su se servir d’armes de ce genre. Il savait ce qu’elle était. Elle avait ça dans le sang. Elle était kunoichi.

Il avait dans le pays de la terre, dans le village caché d’Iwa, un ami qui était ninja. Celui avait grimpé de nombreux échelons. Malheureusement, il avait eu un accident qui le condamnait à passer sa vie dans un fauteuil roulant. Mais pour que Karasu puisse devenir ninja, elle devait avoir un foyer accueillant et fixe. Et ainsi elle pourrait revoir sa mère.

L’affaire fut conclue, et Karasu alla vivre chez son nouveau Sensei. Il vivait presque seul, sa femme l’ayant quitté quelque temps avant son accident, lequel y était peut-être lié. Dans tous les cas, ces deux âmes solitaires y gagnaient à pouvoir se consoler l’une et l’autre de leur désespoir. Karasu allait régulièrement voir sa mère à l’hôpital. Malgré l’opération et l’enlèvement de la tumeur cancéreuse du cerveau de sa mère, celle-ci ne la reconnaissait plus et la traînait comme une inconnue.

Grâce à son maître, la fillette put accroître ses prédispositions pour cette voie qui s’ouvrait à elle. Un an après s’être sédentarisée dans le village des roches, elle fut admise à l’académie, où elle excella. Son caractère un peu trop franc et sa tendance sauvage n’avaient fait qu’ajouter à son isolement. Mais le Tsuchikage de l’époque l’aimait bien. Alors elle fréquentait les élèves qu’il formait, les quelques Genin élus.

Il y en avait un parmi eux qu’elle adorait. Il était blond, les yeux bleus et assez petit. Il avait une allure assez androgyne avec ses longs cheveux. Mais s’il la connaissait un peu par son professeur, il n’avait jamais prêté attention à cette petite, de trois ans sa cadette. Elle, derrière ses longs cheveux mal coiffés qui cachaient son visage de lutin, elle le mangeait des yeux. Une passion impossible. D’autant plus que pour suivre ses rêves, il avait déserté.
Elle avait fini par l’oublier peu à peu. On entendait de ses nouvelles, on voulait tous savoir ses nouvelles techniques. Elle grimpait simplement sur le point le plus haut à côté du village et scrutait l’horizon, dans l’espoir d’apercevoir un quelconque oiseau d’argile blanc.

Elle avait grandi et embelli. Avec son équipe, ils avaient accompli différente missions. Ils avaient noués de forts liens avec cette fille qui maîtrisait la technique du sabre comme personne. Ses Justus étaient d’une pierre aussi dure et craquelée que son cœur, et aussi brûlant que l’amour qu’elle pouvait vouer. Quand elle nouait des liens, elle protégeait les gens avec qui elle avait établi cette relation. A n’importe quel prix. Qu’importait les dangers, elle les affrontait avec fierté, les jugeant avait un air hautain et sarcastique.

Je tiens à préciser que je suis bien moi et que je ne me suis pas autoplagié.
Taguzi Ankou



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Taguzi Ankou
MessageSujet: Re: C'est encore moi   C'est encore moi EmptyVen 7 Jan - 13:08
Je me souviens Smile

Validé !!

Active ton profil, mets-y ton rang de genin, tes techniques +50XP, n'oublie pas de faire ton dossier Ninja et de recenser ton avatar (dans les "News"). Bon RP parmi nous
Karasu



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Karasu
MessageSujet: Re: C'est encore moi   C'est encore moi EmptyVen 7 Jan - 13:26
merci ^^
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C'est encore moi

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